« Être à Jésus seul, vivre pour lui seul, impliquera de faire des choix professionnels : travailler à la Banque de Bouzonville, même si le salaire est moindre qu’au poste qu’on lui proposait à la gare, afin de bénéficier de temps disponible pour prier et accomplir des gestes de charité et des œuvres de miséricorde ». Cf. Un siècle de mission au féminin, page 28.
« J’aimais le service d’une gare puisqu’avec papa j’y avais déjà travaillé. Mais certes, l’autre place m’offrait des avantages au point de vue religieux. Là je pourrais aller chaque matin à la sainte messe et à la communion. La première au contraire, ne me le permettrait pas, en plus, service même les dimanches et risque de cette façon, de n’avoir pas de messe tous les 15 jours, les dimanches, sans les jours de fête. Du côté matériel l’appointement était du double à la gare, mais je ne pouvais prendre ça en considération en exposant mon âme et ma vocation ». Cf. Ma vocation, page 72.
« Nous formions un premier petit groupe visant à une vie intérieure d’union à Dieu, à vivre avec Jésus. Il y avait entre nous, une amitié basée uniquement sur ce désir d’aimer Jésus par une vie plus parfaite. Oui, Jésus fut, certes, beaucoup aimé par ces jeunes cœurs, presque toutes communiaient chaque matin, aussi visitions-nous les pauvres, les malades à domicile ». Cf. Ma vocation, page 55.
Prière : Par l’intercession de Sœur Eugénie Caps, Seigneur, nous te prions de nous accorder la grâce du discernement, afin que nous sachions toujours faire des choix qui nous rapprochent de plus en plus de Toi.